smCert est un label de Qualité Suisse, œuvrant dans le domaine de la certification de compétences professionnelles, s’adressant aux organismes de formation continue, souhaitant certifier par la pratique (avec un seuil minimum de 50%), les compétences acquises par les apprenants durant leur formation selon un référentiel de compétences centralisé.
Le label smCert est ainsi conçu sur la base d’un écosystème de management du processus de certification moderne, digitalisé, sécurisé, impartial avec au cœur de son fonctionnement un moteur de données sur les compétences selon un référentiel européen, accessible à tous les acteurs habilités : le demandeur, le gestionnaire de talents ou tuteur, le financeur, l’organisme de formation, l’organisation de certification et son jury d’évaluation, sa commission d’examen, et transmissible au futur recruteur, à l’office régional de placement, selon la demande du certifié.
Le Label smCert reprend et repose sur plusieurs exigences et principes de la norme ISO 17024 : 2012, dédiés aux organismes de certification procédant à la certification de personnes, ainsi que de la norme ISO 9001 : 2015 dédiée au système de management qualité.
Comprendre le sens du LEAN et participer à des projets.
Conduire des projets d’amélioration dans son environnement de travail.
Organiser et mettre en œuvre le LEAN management dans son organisation.
Définir la stratégie et piloter des projets d’amélioration continue à grand échelle.
Applique les principes du LEAN administratif et services en identifiant les inefficacités et en améliorant les flux de travail.
Optimise les processus de production en élimant les gaspillages et en se concentrant sur la création de valeur pour le client à chaque étape.
Réduit la variabilité des processus grâce à des màthodes structurées basées sur une analyser rigoureuse des données pour garantir une qualité continue.
S’appuyant sur un savoir-faire de praticiens acquis durant 6 modules combinés au sein de la formation certifiante ‘Qualité en Production : Pratique de Base’ d’une durée de 9 jours échelonnée sur une période de formation en présentiel de 3 à 4 mois.
C1 : Être capable de préparer le contrôle qualité dans l’industrie (prélèvement par contrôle par échantillonnage, ou par contrôle en fréquence en appliquant les principes de la MSP).
C2 : Être capable de réaliser des opérations de contrôles et interpréter statistiquement les résultats de son contrôle qualité, afin d’assurer la conformité du produit manufacturé.
C3 : Participer aux démarches de résolution des problèmes en connaissance des principaux outils d’assurance qualité.
C4 : Contribuer à l’amélioration continue de son poste de travail (standard de travail, instrument de mesure).
C5 : Savoir adapter la communication à l’oral et à l’écrit de ses résultats de contrôle aux différentes parties intéressés (fournisseur, sous-traitant, client interne, management).
C6 : Savoir apprivoiser ses émotions pour assurer un travail de qualité et une communication efficace, favorable au travail en équipe, dans un but commun de satisfaire les besoins des clients.
L’octroi du certificat au candidat doit satisfaire aux 2 conditions suivantes :
Condition N° 1 : Le candidat doit obtenir un résultat minimum de 60% de bonnes réponses sur la partie théorique, sur l’ensemble des 6 compétences (soit un minimum de 18 bonnes réponses).
Condition N°2 : Chacune des 6 compétences doit être acquise (note minimale de 60%) regroupant les évaluations théoriques et pratiques.
En cas d’échec, le candidat peut adresser une demande de nouvelle candidature à l’examen, et cela dans un délai de 2 ans.
S’appuyant sur un savoir-faire de praticiens acquis durant 8 modules combinés au sein de la formation certifiante ‘Pratique avancée de la qualité : de la conception à la production’ d’une durée de 14 jours échelonnée sur une période de formation en présentiel de 3 à 6 mois.
C1 : Être capable d’établir d’animer une démarche d’assurance qualité permettant de défini un plan de surveillance, sur la base d’une analyse de risque, utilisé tout au long du cycle de développement du produit manufacturé (conception, industrialisation, production), afin d’assurer la qualité finale exigée par les clients, ainsi que l’efficience du contrôle.
C2 : Être capable d’organiser une démarche de qualification de système de mesure, interpréter statistiquement les données, communiquer les résultats afin d’assurer l’aptitude à pouvoir mesurer la performance du produit manufacturé.
C3 : Être capable d’organiser une stratégie de plan d’expériences afin d’optimiser un produit ou procédé de fabrication, puis analyser statistiquement les résultats et communiquer ses conclusions
C4 : Être capable d’analyser statistiquement de grandes bases de données qualité, tester des hypothèses de comparaison, modéliser la relation de causes à effet entre variables, du point de vue numérique et graphique.
C5 : Être capable d’organiser et animer des démarches d’investigation et de résolution de problèmes en adaptant les outils & les méthodes selon une approche structurée
C6 : Être capable d’agir en conformité avec le système de management qualité mis en place dans l’entreprise, participer ou organiser des démarches d’amélioration continue dans un but de performance, afin d’assurer une stratégie qualité efficiente au sein de son entreprise.
L’octroi du certificat au candidat doit satisfaire aux 2 conditions suivantes :
Condition N° 1 : Le candidat doit obtenir un résultat minimum de 60% de bonnes réponses sur la partie théorique, sur l’ensemble des 6 compétences (soit un minimum de 22 bonnes réponses).
Condition N°2 : Chacune des 6 compétences doit être acquise (note minimale de 60%) regroupant les évaluations théoriques et pratiques.
En cas d’échec, le candidat peut adresser une demande de nouvelle candidature à l’examen, et cela dans un délai de 2 ans.
S’appuyant sur un savoir-faire de praticiens acquis durant 7 modules combinés au sein de la formation certifiante ‘Métrologie industrielle & Qualité au Laboratoire : Pratique de Base’ d’une durée de 9 jours échelonnée sur une période de formation en présentiel de 2 à 6 mois.
C1 : Être capable d’agir en conformité avec le système de management qualité mis en place dans l’entreprise, afin de garantir la bonne application des directives qualité en termes de gestion documentaire qualité & métrologique au sein de son secteur.
C2 : Selon la traçabilité métrologique en vigueur, être capable de réaliser la vérification métrologique d’instrument de mesure selon plusieurs unités de mesure (par exemple de mesure de dimension, poids, volume) afin d’assurer leur conformité, et garantir leur bon usage pour réaliser des opérations de contrôle qualité de produit manufacturé ou de prestation d’essai en laboratoire.
C3 : Être capable de réaliser l’étalonnage d’instrument de mesure et d’interpréter les résultats afin de rédiger un certificat d’étalonnage interne.
C4 : Être capable d’exploiter et décrire statistiquement d’un point de vue numérique et graphique les résultats d’opérations de vérification et d’étalonnage d’instrument et de mesures.
C5 : Participer aux démarches d’amélioration continue et de résolution des problèmes et utilise les principaux outils d’assurance qualité afin d’identifier les facteurs d’influence pouvant impacter le résultat de mesure.
C6 : Savoir adapter la communication à l’oral et à l’écrit de ses résultats de vérification ou d’étalonnage d’instruments aux différentes parties intéressés (fournisseur d’instrument, collaborateur, encadrement, client)
L’octroi du certificat au candidat doit satisfaire aux 2 conditions suivantes :
Condition N° 1 : Le candidat doit obtenir un résultat minimum de 60% de bonnes réponses sur la partie théorique, sur l’ensemble des 6 compétences (soit un minimum de 18 bonnes réponses).
Condition N°2 : Chacune des 6 compétences doit être acquise (note minimale de 60%) regroupant les évaluations théoriques et pratiques.
En cas d’échec, le candidat peut adresser une demande de nouvelle candidature à l’examen, et cela dans un délai de 2 ans.
Qualité au Laboratoire : Pratique de Base |
S’appuyant sur un savoir-faire de praticiens acquis durant 6 modules combinés au sein de la formation certifiante ‘ Pratique avancée de la Métrologie industrielle & de la Qualité de la mesure au Laboratoire ’ d’une durée de 10 jours échelonnée sur une période de formation en présentiel de 2 à 6 mois.
C1 : Il est capable de mettre en place, au sein de son secteur d’activité industrielle ou de laboratoire, un système de management qualité de la mesure conforme à la norme ISO 10012, assurant une gestion efficace de standards métrologiques.
C2 : Il est capable de travailler dans un laboratoire au bénéfice d’un système de management de la qualité et accrédité selon la norme ISO 17025, et participer à des audits internes selon la norme ISO 19011 afin de vérifier la conformité du système de management et des compétences techniques concernés dans la portée d’accréditation.
C3 : Il est capable d’organiser la gestion d’un parc d’instrument et de ses prestataires / fournisseurs, et vérifier l’adéquation entre les besoins et les moyens de mesure à disposition. Il assure l’organisation et la surveillance métrologique dans un but de qualifier et d’optimiser l’utilisation de différents instruments.
C4 : Il est capable de mettre en œuvre au sein de son laboratoire une démarche de validation de méthode permettant de vérifier l’adéquation entre les besoins clients ou normatifs, et la performance quantitative de la méthode de mesure développée.
C5 : Il est capable d’organiser des protocoles expérimentaux afin d’évaluer l’exactitude de méthode de mesure (justesse et fidélité) selon le référentiel MSA. Il assure l’exploitation statistique des résultats afin d’évaluer l’aptitude (ou capabilité) du système de mesure. Il argumente par écrit et par oral avac aisance ses résultats et conclusions.
C6 : Il est capable de calculer statistiquement l’incertitude d’une méthode de mesure ou d’un instrument de mesure selon la méthode GUM, et estimer un budget d’incertitude, sur la base des grandeurs d’influence.
L’octroi du certificat au candidat doit satisfaire aux 2 conditions suivantes :
Condition N° 1 : Le candidat doit obtenir un résultat minimum de 60% de bonnes réponses sur la partie théorique, sur l’ensemble des 6 compétences (soit un minimum de 18 bonnes réponses).
Condition N°2 : Chacune des 6 compétences doit être acquise (note minimale de 60%) regroupant les évaluations théoriques et pratiques.
En cas d’échec, le candidat peut adresser une demande de nouvelle candidature à l’examen, et cela dans un délai de 2 ans.
| Plateforme électronique d’examen | ||||
de la Métrologie industrielle & de la Qualité de la mesure au Laboratoire |
S’appuyant sur un savoir-faire de praticiens acquis durant une formation d’une durée de 3 jours non consécutives sur une période de 1 à 3 mois, puis durant un projet d’amélioration continue conduit selon la méthodologie DMAIC, réalisé durant une période de 3 à 9 mois.
C1 : Mettre en œuvre des chantiers opérationnels simples selon une charte de projet répondant aux enjeux de l’entité, et utilisant les outils et/ou les méthodes du Lean de manière à améliorer les performances opérationnelles au niveau d’une équipe, d’un processus, d’une prestation en suivant les phases du DMAIC (Définir, Mesurer, Analyser, Innover, Contrôler)
C2 : Identifier des gaspillages d’un flux de valeur d’un processus, d’une prestation ou d’un poste clé en s’appuyant sur les méthodes et approches du Lean de manière à améliorer l’efficacité du flux et/ou du poste, dans le cadre de la phase “Mesurer” d’un projet d’amélioration simple avec les équipes terrain.
C3 : Cartographier des flux de valeur en schématisant les différents flux physiques (prestation) et d’information d’un poste et/ou d’un secteur afin de repérer les potentiels d’amélioration en lien avec les enjeux initiaux dans le cadre de la phase “Analyser ” d’un projet d’amélioration simple avec les équipes terrain.
C4 : Garantir le maintien de la performance des actions mises en place à l’aide des nouveaux standards et d’outils du management visuel afin de s’inscrire dans une dynamique d’amélioration continue avec les équipes opérationnelles, dans le cadre de la phase “Contrôler” des chantiers d’amélioration simples
Les 4 compétences mentionnées au chapitre 6 de ce règlement, sont évaluées durant 2 parties complémentaires appelées :
Pour chaque compétence évaluée, la partie théorique (E1) représente 50% de la note finale.
Pour chaque compétence évaluée, la partie pratique (comprenant les modalités d’évaluation E3, E4, E5) représente 50% de la note, divisée de la façon suivante :
Condition de succès :
L’octroi du certificat au candidat doit satisfaire aux 2 conditions suivantes :
Condition N°1 : Le candidat doit obtenir un résultat minimum de 60% de bonnes réponses sur la partie théorique, sur l’ensemble des 4 compétences (soit un minimum de 22 bonnes réponses).
Condition N°2 : Chacune des 4 compétences doit être acquise (note minimale de 60%) regroupant les évaluations théoriques et pratiques.
En cas d’échec, le candidat peut adresser une demande de nouvelle candidature à l’examen comprenant les 2 parties théoriques et pratiques, et cela dans un délai de 2 ans.
Yellow Belt Lean |
S’appuyant sur un savoir-faire de praticiens acquis durant une formation d’une durée de 4 jours non consécutives sur une période de 1 à 3 mois, puis durant un projet d’amélioration continue conduit selon la méthodologie DMAIC, réalisé durant une période de 3 à 9 mois.
C1 : Mettre en œuvre des chantiers opérationnels simples selon une charte de projet répondant aux enjeux de l’entité, et utilisant les outils et/ou les méthodes du Lean de manière à améliorer les performances opérationnelles au niveau d’une équipe, d’un processus, d’un secteur de production en suivant les phases du DMAIC (Définir, Mesurer, Analyser, Innover, Contrôler)
C2 : Identifier des gaspillages d’un flux de valeur d’un processus, d’un flux de production ou d’un poste clé en s’appuyant sur les méthodes et approches du Lean de manière à améliorer l’efficacité du flux et/ou du poste, dans le cadre de la phase “Mesurer” d’un projet d’amélioration simple avec les équipes terrain.
C3 : Cartographier des flux de valeur en schématisant les différents flux physiques et d’informations d’un poste clé (goulot) et/ou d’un flux de production afin de repérer les potentiels d’amélioration en lien avec les enjeux initiaux dans le cadre de la phase “Analyser ” d’un projet d’amélioration simple avec les équipes terrain.
C4 : Garantir le maintien de la performance des actions mises en place à l’aide des nouveaux standards et d’outils du management visuel, de nouveaux standards de production / consommation en flux tiré afin de s’inscrire dans une dynamique d’amélioration continue avec les équipes opérationnelles, dans le cadre de la phase “Contrôler” des chantiers d’amélioration simples.
Les 4 compétences mentionnées au chapitre 6 de ce règlement, sont évaluées durant 2 parties complémentaires appelées :
Pour chaque compétence évaluée, la partie théorique (E1) représente 50% de la note finale.
Pour chaque compétence évaluée, la partie pratique (comprenant les modalités d’évaluation E3, E4, E5) représente 50% de la note, divisée de la façon suivante :
Condition de succès :
L’octroi du certificat au candidat doit satisfaire aux 2 conditions suivantes :
Condition N°1 : Le candidat doit obtenir un résultat minimum de 60% de bonnes réponses sur la partie théorique, sur l’ensemble des 4 compétences (soit un minimum de 22 bonnes réponses).
Condition N°2 : Chacune des 4 compétences doit être acquise (note minimale de 60%) regroupant les évaluations théoriques et pratiques.
En cas d’échec, le candidat peut adresser une demande de nouvelle candidature à l’examen comprenant les 2 parties théoriques et pratiques, et cela dans un délai de 2 ans.
S’appuyant sur un savoir-faire de praticiens acquis durant une formation d’une durée de 7 jours non consécutives constituée de 2 modules complémentaires sur une période de 1 à 3 mois, puis durant un projet d’amélioration continue conduit selon la méthodologie DMAIC, réalisé durant une période de 3 à 9 mois.
C1 : Mettre en œuvre des chantiers opérationnels simples selon une charte de projet répondant aux enjeux de l’entité, et utilisant les outils et/ou les méthodes du Lean de manière à améliorer les performances opérationnelles au niveau d’une équipe, d’un processus, d’un secteur de production en suivant les phases du DMAIC (Définir, Mesurer, Analyser, Innover, Contrôler)
C2 : Identifier des gaspillages d’un flux de valeur d’un processus, d’un flux de production ou d’un poste clé en s’appuyant sur les méthodes et approches du Lean de manière à améliorer l’efficacité du flux et/ou du poste, dans le cadre de la phase “Mesurer” d’un projet d’amélioration simple avec les équipes terrain.
C3 : Cartographier des flux de valeur en schématisant les différents flux physiques et d’informations d’un poste clé (goulot) et/ou d’un flux de production afin de repérer les potentiels d’amélioration en lien avec les enjeux initiaux dans le cadre de la phase “Analyser ” d’un projet d’amélioration simple avec les équipes terrain.
C4 : Garantir le maintien de la performance des actions mises en place à l’aide des nouveaux standards et d’outils du management visuel, de nouveaux standards de production / consommation en flux tiré afin de s’inscrire dans une dynamique d’amélioration continue avec les équipes opérationnelles, dans le cadre de la phase “Contrôler” des chantiers d’amélioration simples.
C5 : Mettre en place un management visuel afin de piloter les activités de son secteur. Savoir structurer et animer des rituels de communication en s’aidant du management visuel.
C6 : Structurer et animer des démarches de résolution de problème adaptées à son organisation et à la complexité des problèmes.
Les 6 compétences mentionnées au chapitre 6 de ce règlement, sont évaluées durant 2 parties complémentaires appelées :
Pour chaque compétence évaluée, la partie théorique (E1) représente 50% de la note finale.
Pour chaque compétence évaluée, la partie pratique (comprenant les modalités d’évaluation E2, E3, E4, E5) représente 50% de la note, divisée de la façon suivante :
Conditions de succès :
L’octroi du certificat au candidat doit satisfaire aux 2 conditions suivantes :
Condition N° 1 : Le candidat doit obtenir un résultat minimum de 60% de bonnes réponses sur la partie théorique, sur l’ensemble des 6 compétences (soit un minimum de 22 bonnes réponses).
Condition N°2 : 4 compétences sur 6 doivent être acquises sur la partie pratique.
En cas d’échec, le candidat peut adresser une demande de nouvelle candidature à l’examen sur la ou les parties en échec, et cela dans un délai de 2 ans.
| Référent Lean SERVICES : Niveau Green Belt | LSGB |
S’appuyant sur un savoir-faire de praticiens acquis durant une formation d’une durée de 8 jours non consécutives constituée de 2 modules complémentaires sur une période de 1 à 3 mois, puis durant un projet d’amélioration continue conduit selon la méthodologie DMAIC, réalisé durant une période de 3 à 9 mois.
C1 : Mettre en œuvre des chantiers opérationnels simples selon une charte de projet répondant aux enjeux de l’entité, et utilisant les outils et/ou les méthodes du Lean de manière à améliorer les performances opérationnelles au niveau d’une équipe, d’un processus, d’un secteur de production en suivant les phases du DMAIC (Définir, Mesurer, Analyser, Innover, Contrôler)
C2 : Identifier des gaspillages d’un flux de valeur d’un processus, d’un flux de production ou d’un poste clé en s’appuyant sur les méthodes et approches du Lean de manière à améliorer l’efficacité du flux et/ou du poste, dans le cadre de la phase “Mesurer” d’un projet d’amélioration simple avec les équipes terrain.
C3 : Cartographier des flux de valeur en schématisant les différents flux physiques et d’informations d’un poste clé (goulot) et/ou d’un flux de production afin de repérer les potentiels d’amélioration en lien avec les enjeux initiaux dans le cadre de la phase “Analyser ” d’un projet d’amélioration simple avec les équipes terrain.
C4 : Garantir le maintien de la performance des actions mises en place à l’aide des nouveaux standards et d’outils du management visuel, de nouveaux standards de production / consommation en flux tiré afin de s’inscrire dans une dynamique d’amélioration continue avec les équipes opérationnelles, dans le cadre de la phase “Contrôler” des chantiers d’amélioration simples.
C5 : Mettre en place un management visuel afin de piloter les activités de son secteur. Savoir structurer et animer des rituels de communication en s’aidant du management visuel.
C6 : Structurer et animer des démarches de résolution de problème adaptées à son organisation et à la complexité des problèmes.
Les 6 compétences mentionnées au chapitre 6 de ce règlement, sont évaluées durant 2 parties complémentaires appelées :
Pour chaque compétence évaluée, la partie théorique (E1) représente 50% de la note finale.
Pour chaque compétence évaluée, la partie pratique (comprenant les modalités d’évaluation E2, E3, E4, E5) représente 50% de la note, divisée de la façon suivante :
Conditions de succès :
L’octroi du certificat au candidat doit satisfaire aux 2 conditions suivantes :
Condition N° 1 : Le candidat doit obtenir un résultat minimum de 60% de bonnes réponses sur la partie théorique, sur l’ensemble des 6 compétences (soit un minimum de 22 bonnes réponses).
Condition N°2 : 4 compétences sur 6 doivent être acquises sur la partie pratique.
En cas d’échec, le candidat peut adresser une demande de nouvelle candidature à l’examen sur la ou les parties en échec, et cela dans un délai de 2 ans.
| Référent Lean PRODUCTION : Niveau Green Belt | LPGB |
S’appuyant sur un savoir-faire de praticiens acquis durant une formation d’une durée de 7 jours non consécutives sur une période de 1 à 3 mois, puis durant un projet d’amélioration continue conduit selon la méthodologie DMAIC, réalisé durant une période de 3 à 9 mois.
C1 : Structurer un chantier ou projet d’amélioration continue structurée selon la méthode Six Sigma en sélectionnant puis en mettant en pratique les bons outils à chacune des 5 phases (DMAIC).
C2 : Animer une équipe ou groupe de travail d’amélioration continue, en définissant les responsabilités du chacun, en communiquant les avancées et résultats aux parties prenantes durant les différents jalons du projet (lancement, phases du DMAIC, clôture du projet).
C3 : Vérifier la qualité des données et des systèmes de mesure afin de pouvoir exploiter correctement les futurs résultats et étudier les composantes de variabilité du processus ou produit étudié, en s’appuyant sur des statistiques descriptives.
C4 : Savoir identifier les facteurs clés influençant le processus ou produit étudié, puis prioriser les opportunités ou solutions d’amélioration.
C5 : Sur la base d’hypothèse statistiques inférentielles, mener des analyses numériques et graphiques objectives et factuelles à partir de différents types de données.
C6 : Sur la base de la méthodologie des plans d’expériences, définir le plan d’essais, organiser les essais puis exploiter les résultats de modélisation en s’aidant d’analyses numériques et graphiques.
Les 6 compétences mentionnées au chapitre 6 de ce règlement, sont évaluées durant 2 parties complémentaires appelées :
Pour chaque compétence évaluée, la partie théorique (E1) représente 50% de la note finale.
Pour chaque compétence évaluée, la partie pratique (comprenant les modalités d’évaluation E2, E3, E4, E5) représente 50% de la note, divisée de la façon suivante :
Conditions de succès :
L’octroi du certificat au candidat doit satisfaire aux 2 conditions suivantes :
Condition N° 1 : Le candidat doit obtenir un résultat minimum de 60% de bonnes réponses sur la partie théorique, sur l’ensemble des 6 compétences (soit un minimum de 22 bonnes réponses).
Condition N°2 : 4 compétences sur 6 doivent être acquises sur la partie pratique.
En cas d’échec, le candidat peut adresser une demande de nouvelle candidature à l’examen sur la ou les parties en échec, et cela dans un délai de 2 ans.
| Six sigma (Green Belt) |